L’introduction de la lumière artificielle dans les villes a été marquée par des transitions énergétiques clés : le passage de l’huile au gaz au début du 18e siècle puis l’avénement de l’électricité. Ces transitions accompagnées par des développements technologiques marquants ont physiquement restructuré les villes ainsi que l’expérience et les habitudes nocturnes des habitants. Mais quel a été l’impact de la lumière artificielle sur l’architecture, l’histoire de l’art et la représentation des espaces publics? Cette journée d’étude propose de réfléchir aux enjeux esthétiques, méthodologiques, sociaux ou environnementaux de ces différentes techniques d’éclairage artificiel en milieu urbain au cours des 18e et 19e siècles.
—
Avec la participation de Sophie Reculin (Université du Havre), Christina Contandriopoulos (UQAM), Aniel Guxholli (McGill), Valeria Téllez Niemeyer (UQAM), Marjolaine Poirier (UQAM) et Suzanne Paquet (Université de Montréal).
0 Avis