[vc_single_image image= »ype-of-1163″ image_size= »full » frame= »noframe » full_width= »no » lightbox= »yes » link_target= »_self » width= »1/3″ el_position= »first »] [vc_column_text pb_margin_bottom= »no » pb_border_bottom= »no » width= »2/3″ el_position= »last »]
Dirigé par Philippe Audegean (Université Paris 3), les co-chercheurs sont, avec Pascal Bastien (UQAM) : Yves Cartuyvels (Université Saint-Louis, Bruxelles); Emmanuelle de Champs (Université Paris 8); Maria Rosa Di Simone (Université Rome 2); Gianni Francioni (Université de Pavie); Benoît Garnot (Université de Bourgogne); Dario Ippolito (Université Rome 3); Michel Porret (Université de Genève); Anna Maria Rao (Université de Naples); Wolfgang Rother (Université de Zurich); Luis Prieto Sanchís (Université de Castille-La Manche).
—
Jamais, dans aucune autre période de l’histoire, le problème pénal n’a été aussi débattu qu’au siècle des Lumières. Dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, le droit pénal apparaît comme une dimension centrale et décisive de la vie politique. Le développement théorique d’un paradigme de gouvernement caractérisé par la subordination de l’autorité publique à la loi en vue de la protection des individus met au premier plan le problème de la qualification des crimes, de la détermination des peines et des règles de procédure pénale.
—
MOMENTBECCARIA.pdf
[/vc_column_text]